Peintre du Rail
Prêt a partir pour St Tropez
Huile sur toile 46 x 33 cm
L'ancien service de navette entre Cogolin et St Tropez se prépare à quitter la gare de Cogolin. Ce site est maintenant occupé par un bâtiment de bureau de poste très laid et ordinaire, et la ligne a disparu, bien sûr. Moins de 10 km de long, il fournissait un service local essentiel pendant pas plus de cinquante ans.Beauté du Nord
Huile sur toile 55 x 38 cm
De l'avis de nombreuses personnes, la classe Nord 3.600 de 4 cylindres compound (SNCF 320D) fait partie des plus belles locomotives jamais construites. Le fait qu’ils soient très puissants pour leur taille et qu’ils aient fonctionné longtemps ne fait que renforcer leur réputation.Jus d’orange
Huile sur toile 22 x 16 cm
Qu’est ce donc que la nostalgie? Pourquoi les choses du passé semblent elles plus intéressantes que celles du présent? En effet, il y a nombre de personnes qui pense que la livrée originale en orange du TGV était beaucoup plus attrayante et vivante que le “tiède” bleu-et-gris ou le carmin-et-gris. Ce train est dépeint dans la Vallée du Rhône, près de Donzère. Ce tableau est basé sur une photo de Philppe Morel.Paradis PLM
Huile sur toile 38 x 46 cm
Romance sur le Rhin
Huile sur toile 33 x 46 cm
Energie électrique
Huile sur toile 38 x 46 cm
3.628
Huile sur toile 33 x 41 cm
Rencontre sur la Côte d’Azur
Huile sur toile 46 x 38 cm
L’écharpe de Noël
Huile sur toile 38 x 46 cm
Au travail
Huile sur toile 50 x 65 cm
En plein effort
Huile sur toile 46 x 38 cm
La crasse et la gloire
Huile sur toile 41 x 51 cm
“The Elizabethan” passe
Huile sur toile 25 x 36 cm
Atmosphère d’Arras
Huile sur toile 46 x 62 cm
La beauté de Blaisy
Huile sur toile 38 x 46 cm
Montsoult-Maffliers vers 1900
Huile sur toile 38 x 46 cm
Mountain mise en scène
Huile sur toile 46 x 62 cm
Monstre noir
Huile sur toile 46 x 62 cm
Le Cigare de Cannes
Huile sur toile 38 x 46 cm
Les Champs du Nord
Huile sur toile 33 x 46 cm
Le long des rails brilliants
Huile sur toile 50 x 62 cm
Une Pacific passe
Huile sur toile 38 x 46 cm
Tunnel de vitesse
Huile sur toile 73 x 60 cm
Automne en été
Huile sur toile 54 x 73 cm
Au revoir, Paris
Huile sur toile 65 x 92 cm
Ancien et moderne
Huile sur toile 46 x 38 cm
Coureur rouge
Huile sur toile 54 x 73 cm
Une scène de tous les jours
Huile sur toile 16 x 22 cm
Côtes du Rhône
Huile sur toile 65 x 92 cm
Feu, vapeur et vitesse
Huile sur toile 54 x 73 cm
La “Grande Dame” de Chapelon à Lannion
65 x 130 cm
L’Automne de la vie
Huile sur toile 33 x 46 cm
Chant du cygne
Huile sur toile 65 x 92 cm
Perdue an mer
Huile sur toile 100 x 100 cm
Comme autrefois
Huile sur toile 33 x 41 cm
Hommage à Bugatti
Huile sur toile 81 x 65 cm
Moment Mikado
Huile sur toile 46 x 33 cm
La Divine et la Déesse
Huile sur toile 60 x 81 cm
Une bête de travail de l’Est
Huile sur toile 73 x 54 cm
Les Bronzes à New York
Huile sur toile
Ces deux grands tableaux ont été exécutés en original pour servir de base à la creation de deux bas-reliefs en bronze installés dans un immeuble mythique de New York. Ce gratte-ciel est l’ancien immeuble Helmsley (maintenant simplement au 230 Park Avenue) situé en haut de Park Avenue et au dessus du Terminus de Grand Central. Il fut construit pour être le siège du Réseau Central de New York dans les années 1920 and est un monument classé Art-Déco. Cet immeuble a été rénové entre 2004 et 2010 par les promoteurs Monday Properties, en association avec le groupe d’architectes BBB. Les bronzes ont remplacé les anciens panneaux annuaires qui étaient dans des cadres eux mêmes classés et situés dans le grand foyer d’entrée en marbre et en bronze. Utilisant les deux tableaux originaux comme base, les bronzes ont été crées par l’entreprise de sculpture Excalibur Bronze de Brooklyn, par une méthode traditionelle de fonderie de “cire perdue”. Ils mesurent 4.5 mètres par 2.2 mètres. Ils dépeignent le train caréné dessiné par Dreyfus, de la 20th-Century Limited, tiré par une locomotive Hudson devant un arrière-plan allégorique de l’horizon New Yorkais qui inclut l’immeuble au 230 Park Avenue. Les toiles originales sont accrochées aux murs de la salle du conseil des promoteurs. [caption id="attachment_236" align="alignnone" width="369"] L’un des deux bas-reliefs en bronze qui sont de part et d’autre de l’entrée.[/caption]Le ‘moi’ voyage
Huile sur toile 100 x 100 cm
Le dessinateur industriel pionnier américain et français de naissance Raymond Loewy a tout à fait le droit ici d’être satisfait de lui même. Il a influencé les deux designs de cette automobile et de cette locomotive. Il est au volant de la Studebaker Commander Regal Deluxe 1951 décapotable, qui règle son allure sur celle de la T1 Duplex du Réseau de Penssylvanie, une magnifique locomotive à vapeur qui arrivait alors en fin de carrière.Au nord
Huile sur toile 45 x 90 cm
Dans sa distinctive livrée chocolat, la Pacific Chapelon numéro 3.1197 forge son chemin le long de la grande ligne du Nord, de Paris vers la Belgique. Cette locomotive est une de la série construite à neuf en 1936 pour le Chemin de Fer du Nord, après les premières series des locomotives de 1934 qui furent transformées à partir des Pacifics PO. La classe avait en total 48 machines et elles eurent grand succés en service. La locomotive numéro 3.1192 est conservée à la Cité du Train à Mulhouse.Vitesse en vert
Huile sur toile 33 x 55 cm
La première ambition du grand W.O. Bentley fut d’être un ingenieur de locomotives, et c’est donc ainsi qu’il se retrouva apprenti de H.N. Gresley aux ateliers du réseau Great Northern Railway à Doncaster. Cependant, son amour de la vitesse et de la competition fut mieux satisfait sur les circuits de course et sur la route. Ici, nous voyons une voiture Bentley classique des années 20 dans un duel avec la locomotive Mikado, “Cock o’ the North” de Gresley, construite à Doncaster pour être en service en Ecosse.L’aurore et le crépuscule
Huile sur toile 50 x 100 cm
Le soleil va bientôt se lever au dessus du grand dépôt vapeur à Exmouth Junction dans l’ouest de l’Angleterre. Cependant, ce sera bientôt le crépuscule pour la locomotive de la classe “Merchant Navy”, numéro 35020, “Bibby Line”. Construite en 1945 et re-construite en 1956, elle fut retirée du service en 1965 – une courte vie pour une magnifique locomotive.Grâce française
Huile sur toile 73 x 100 cm
Une Citroën Traction 11BL passe sur le Viaduc de Millau – l’une des plus belles automobiles et l’une des plus en avance techniquement de son époque sur l’un des plus beaux ponts et des plus en avance techniquement de notre époque. Ce pont est le plus haut du monde. La seule petite “inquietude” est que l’apparence de la voiture fut dessinée par un italien et que celle du pont par un anglais. Peu importe: les deux furent réalisés par des ingénieurs français.Excursions en Méditerranée
Huile sur toile 54 x 73 cm
Il était une fois pendant l’année 1930, un car Citroën, une moto, une Hispano-Suiza, une Pacific PLM et une voilier allaient toutes bon train le long de la magnifique côte de la Méditerranée dans le Sud de la France. Le car a les bicyclettes de ses passagers attachés sur le toit, et la dame dans l’automobile a emmené son petit chien en promenade sur ses genoux. Il n’y a aucun doute que tous admirent ce merveilleux panorama sur la mer. Les rails de l’ancien tramway sont encore visibles sur la route bien que les fils et les pôteaux aient disparu.La Flèche d’Or 1926
Huile sur toile 54 x 73 cm
La Flêche d’Or était deux trains – un transportant des passagers de Londres à La Manche, et l’autre allant de Calais à Paris. L’inauguration du service français se fit en 1926, là nous voyons une SuperPacific Nord de la première série, dans sa livrée chocolat, avec une belle rame assortie en chocolat-et-crème. Notez le classique wagon fourgon pour de grosses quantités de baggage.Les Michelines
Huile sur toile 46 x 38 cm
Le nom “Micheline” s’applique à un autocar sur des roues avec des pneus, bien qu’en France, on appelle souvent les autocars conventionnels de ce même nom. Il y avait nombre de variétés de Micheline, et quelques unes ont été exportées même en Grande Bretagne. Dans ce tableau, l’une des premières Michelines se trouve à droite, et l’autre, une variante plus tardive (maintenant au Musée de Mulhouse, La Cité du train) est à gauche. La toile originale fait partie maintenant de la collection du Musée Michelin (“L’Aventure Michelin”) à Clermont Ferrand.Pour le prix d’un billet de train
Huile sur toile 90 x 90 cm
Le fameux écrivain français Albert Camus devait revenir à Paris de sa maison de campagne , en train, et il avait acheté son billet. Cependant, son éditeur, Michel Gallimard, le persuada de revenir avec lui en voiture, dans sa Facel-Vega FV3B. Après déjeuner, le 6 janvier 1960, la voiture s’est jetée contre un arbre sur la Nationale 5 entre Sens et Fontainebleau. Camus et Gallimard furent tués mais l’épouse de Gallimard et sa belle-fille leur survécurent.Souvenir du Midland Railway
Huile sur toile 54 x 73 cm
Cette scène n’est plus qu’un souvenir, tous les chemins de fer ayant disparu, à part les viaducs, encore debout – un inutilisé et l’autre utilisés par les randonneurs. C’est la gare du réseau Midland à Millers Dale, entre Derby et Manchester. Cette ligne, une des plus pittoresques en Grande Bretagne, fut fermée dans les années 60. Les deux trains sont dans la belle livrée rouge Midland.Belle époque
Huile sur toile 38 x 46 cm
La belle époque ramène au summum de la splendeur française à la fin du 19ème et au début du 20ème siècles. A ce moment là, la France avait un dense tissu de réseau chemins de fer secondaires à voies étroites, l’un des plus scéniques se trouvant sur le réseau Sud-France, le long de la Côte d’Azur entre Toulon et Frèjus. Ce train entre en gare de La Croix, la ville connue aujourd’hui sous le nom de La Croix Valmer. Le site de la gare est maintenant recouvert de constructions modernes.Le rève de Chapelon
Huile sur toile 54 x 73 cm
Le grand ingénieur français de la vapeur André Chapelon produisit des dessins pour une série de locomotives à vapeur modernes avec des arrangements de roues variées pour fournir à tous les besoins de traction de la SNCF après la deuxième guerre mondiale. Seule la 152 arriva jusqu’au stade de dessins détaillés. Utilisant ceux-ci ainsi que d’autres sources de références, j’ai peint un tableau de ce projet 242 où l’on peut clairement voir exprimée la combinaison des pratiques françaises et américaines. Que cela aurait été une superbe locomotive!Yellowstones
Huile sur toile 60 x 120 cm
Le Duluth, Missabe & Iron Range Railway était exclusivement une ligne pour les minerais du Minnesota aux États Unis, avec des trains chargés de minerai de fer allant vers le port de Two Harbors sur le Lac Supérieur, et revenant vides. Entre 1941 et 1943, le DMIRR reçut livraison de 18 énormes Mallet simple avec un arrangement de roues de 1442. On voit deux de ces monstres, parmi les plus grands de leur type, se rencontrant dans la nuit, dans une boucle de passage.Un oiseau rare
Huile sur toile 54 x 73 cm
Les 240P étaient reconstruites à partir des vieilles PO Pacifics , crées par le brilliant cerveau d’André Chapelon. Elles furent ses chefs d’oeuvres. Elles étaient inégalées dans le monde de par leur efficacité et puissance par tonne. Introduites pendant la guerre, et de plus en plus poussées dans des coins lointains par l’électrification, elles n’ont jamais eu la chance d’être utilisées à la hauteur totale de leurs compétences ni d’être photographiées très souvent. Elles avaient toutes disparues dès 1953.Venise en train
Huile sur toile 100 x 100 cm
On peut arriver à Venise en train mais pas sur le Grand Canal même! Ce fantasme a été crée pour le Salon d’Automne au Grand Palais à Paris. Les passagers de ce wagon mythique ont le plaisir non seulement d’admirer le panorama, mais aussi de savourer un Bellini, l’apéritif vénitien par excellence. Ils ont été tentés à faire ce voyage par la brochure, qui étrangement reproduit la même scène….A travers les banlieues
Huile sur toile 16 x 22 cm
Ayant quitté la Gare St Lazare cinq minutes plus tôt, notre train passe maintenant par les banlieues ouest de Paris, sous une toile d’araignée de cables électriques et de catenaires en silhouette contre le ciel, et avec tout ce fourbi typique qui fascine tant l’enthousiaste ferroviaire.Jumbo jet
Huile sur toile 16 x 22 cm
La classe “Precedent” de Réseau de chemin de fer LNWR avait pour surnom “Jumbo” – surnom étrange pour de si petites locomotives. Entre autres, ils étaient connues pour leur capacité de rouler rapidement. Ici nous voyons la No. 5036 dans la livrée rouge du Réseau de LMS (qui a absorbé le LNWR en 1923), qui fait ce qui lui vient naturellement.La puissance Pennsy
Huile sur toile 73 x 60 cm
L’histoire des locomotives duplex du Réseau de chemin de fer de Pennsylanie n’est pas une histoire heureuse, avec ces machines des classes S1, T1, Q1 et Q2 arrivant tout à fait à la fin du développement de la vapeur. Il s’est passé seulement dix ans entre la première livraison de vingt six Q2, et le retrait la dernière de service. Ce tableau montre une de ces magnifiques machines faisant le travail pour lequel elles avaient été crées – tirer un énorme cargo le long d’une longue rampe.La couleur du Capitole
Huile sur toile 16 x 22 cm
Le capitol roula de Paris à Toulouse entre les années 1960 et 1990. A partir de 1967, ce fut le seul train autorisé à rouler à 200kph (125 mph) sur certains sections du trajet. Pour marquer cette distinction, la locomotive et les voitures furent peintes en cette belle livrée rouge. Ce tableau montre une locomotive électrique de la classe BB9200 tractant sa rame en meme couleur.Eclair dans la nuit
Huile sur toile 54 x 81 cm
La lumière se reflète sur les flancs d’une Mountain des Chemins de Fer de l’Est, en pleine vitesse. Ces belles 241, introduites en 1925, avaient une réputation mitigée. Bien que leur capacité de traction ne fut jamais en doute, on les soupçonnait d’être dures avec les rails, et d’occasionner certaines déraillements. Elles furent donc par la suite limitées en permanence à 110kph, mais eurent de longues carriers, la dernière étant retirée en 1967.Atmosphère Nord
Huile sur toile 70 x 140 cm
Une évocation de l’ambiance de la Gare du Nord à la fin des années cinquante avant électrification. Au centre, à la tête d’un express international se tient une 232R2, à trois cylindres simples. A l’arrière plan, une 141TC, membre d’une classe nombreuse de locomotives tender 2-cylindres simple, attend de prendre son service de banlieue, pendant qu’à droite, une 230D, à 4-cylindres compound, se prépare à partir pour le nord avec son rapide.Vitesse en gris
Huile sur toile 41 x 51 cm
Elburg
Huile sur toile 60 x 120 cm
Elburg est une petite ville médiévale, entourée de remparts dans le sud de la Hollande. Elle est fréquentée par de nombreux touristes mais rien ne leur laisserait à penser qu’en son centre, un tramway d’échelle standard pénétrait autrefois ses murs anciens. Cette vue vous montre le dépôt qui était situé juste en dehors de la ville – l’église est visible à travers les arbres- et les bâtiments sont maintenant un supermarché. Tout le reste a disparu mais la ville est toujours belle.Un train à Toulon
Huile sur toile 16 x 22 cm
Toulon est maintenant ma ville, je me suis donc intéressé à son histoire. En ce qui concerne la gare, et ceci est surprenant, peu de choses ont changé depuis ce que dépeint ce tableau. Oui, la vapeur a disparu, ainsi que la verrière. Mais les bâtiments sur la gauche restent, et la gare elle même vient d’être restorée, les horreurs architecturales ajoutées dans les années 80, toutes enlevées, si bien que la façade ressemble plus que jamais à l’originale. Le superbe ciel bleu, lui est toujours typiquement là.Equipe de rêve
Huile sur toile 65 x 81 cm
L’association britannique “A1 Steam” a terminé la construction de sa nouvelle Pacific Tornado en 2008 et celle-ci a roulé avec succès sur les grandes lignes depuis cette année là. Ils sont maintenant en train de construire une deuxième locomotive, une Mikado de 1934. Celle-ci devrait être finie en 2021, et nous la voyons ici roulant à côté de Tornado. Pour plus d’informations sur ce projet, regardez le site a1steam.com.Pistes rapides
Huile sur toile 38 x 46 cm
Sur une ligne droite, le TGV gagnerait, mais ajoutons quelques courbes sinueuses, et la Porsche aurait de meilleures chances de gagner. Ici, une des rames d’origine du TGV peinte en orange roule à côté d’une Porsche 911 3.2 Jubilée datant de 1988. On est tempté de dire qu’ici se retrouvent un vrai TGV et une vrai Porsche.Attendre et rêver
Huile sur toile 16 x 22 cm
Je me demande combien de temps j’ai passé regardant des rails vides, quelquefois attendant un train, mais souvent juste observant et contemplant. M’émerveillant à ce qui était passé sur ces rails depuis leurs poses. Un passe-temps très agréable.Rocherolles
Huile sur toile 38 x 46 cm
Une Chapelon 240 de la série PO franchit le Viaduc de Rocherolles, pendant les années 30, avec une rame principalement de voitures OCEM. Ces locomotives ont précédées des 240P de la SNCF et sont considérées, avec les machines SNCF, comme les chefs d’oeuvres de Chapelon. Aucune n’ont survécu. Dans ce tableau, j’ai un peu triché en n’y mettant pas les caténaires sur le viaduc.Autrefois ma gare
Huile sur toile 54 x 73 cm
Woincourt était autrefois le centre de production de la serrurerie et robinetterie haut-de-gamme française et se situe sur le réseau du Nord entre Abbeville et Le Tréport. Une Nord “3500” 230 en livrée vert SNCF entre en gare sous la surveillance d’un énorme et typique sémaphore Lartigue. La locomotive a une cheminée au grand diamètre avec un échappement Lemaître.Précision
Huile sur toile 16 x 22 cm
C’est le détail, vue de l’extérieur de la distribution Walschaerts d’une Pacific Nord Chapelon située au musée national des chemins de fer à Mulhouse. A mon avis, cette distribution est visuellment la plus fascinante et satisfaisante.“Le Capitole” à Limoges
Huile sur toile 60 x 81 cm
Le premier train à rouler à 200km/h en Europe fut “Le Capitole” entre Paris et Toulouse en 1967. Il avait une livrée rouge et grise très distinctive. Ce tableau représente le service Toulouse-Paris, s’arrêtant à Limoges, une grandiose gare, construite dans les années 20. A l’arrière plan, on voit le fantôme d’une 242 Forquenot, du type qui s’est acquitté de son travail avec une grande distinction sur cette ligne pendant plus de 40 ans.Un roi dans le Devon
Huile sur toile 27 x 41 cm
L’une des lignes les plus pittoresques en Angleterre est celle de la partie côtière entre Starcross et Teignmouth, dans le comté de Devon, qui fut endommagée par les tempêtes en 2014, et depuis réparée. Ici, nous nous imaginons tel un oiseau, capable de suivre le train presque jusque dans la mer! La locomotive No. 6000 “King George V” de la classe “King”, maintenant préservé, fut la fierté du réseau Great Western.P.O. en habit du Nord
Huile sur toile 16 x 22 cm
Une classique “Chapelon Nord”, de la série qui fut basée sur les Pacifics du réseau Paris Orléans (P.O.), passe à toute vitesse, resplendissante dans sa livrée “chocolat”. Ces locomotives ont été le résultat de la reconstruction spectaculaire par André Chapelon des locomotives d’origine P.O. Le réseau Nord commanda un bon nombre de celles reconstruites et ensuite, une autre série, identiques mais nouvellement construites par des constructeurs privés.BB67000 at Toulon
Huile sur toile 16 x 22 cm
L’une des plus réussies des locomotives diesel françaises s’arrête à Toulon dans les années 70. Avec sa rame, elle vient de rouler le long de la Côte d’Azur entre Nice et Fréjus, puis a traversé la partie à l’intérieur des terres de la ligne PLM à travers le Massif des Maures. Elle se dirige maintenant vers Marseille. La gare de Toulon a toujours, à ce moment là, son toit au complet, plus tard détruit.Restorées, et construites à neuf
Huile sur toile 73 x 100 cm
Six locomotives en Angleterre, quatre d’entre elles restorées et en état de marche, une nouvellement construite de toutes pièces, et une en construction. La nouvelle locomotive est No. 60163 “Tornado” qui roule sur les grandes lignes depuis 2008. La locomotive en construction est No. 2007 “Prince of Wales”, à gauche. Les autres locomotives sont deux Pacifics A4, une locomotive-tender N2 et une 131 classe V2. Ce tableau représente une activité frénétique de la vapeur au Royaume Uni. Pour une description impressionante de No. 2007, regardez le site web: www.p2steam.com Tout simplement magnifique.Efficacité avec émotion
Huile sur toile 60 x 81 cm
La reconstruction de locomotive par Chapelon la plus impressionante et efficace fut celle de la classe 240P. Ici, l’une de cette classe quitte la Gare de Lyon vers le Sud avec son train de nuit. Reconstruites à partir de Pacifics du Paris-Orléans, elle furent les locomotives à vapeur les plus efficaces au monde au niveau de la puissance par rapport au poids. Pour beaucoup, elles furent les plus belles des locomotives françaises avec leur esthétique dynamique et pourtant massive.Ambience PLM
Mes clients souhaitaient une scène typiquement PLM, avec certains éléments à y inclure – la locomotive tank 242 démarrant, un passage à niveau, des véhicules vintages et un potager. La scène fut donc ainsi montée. L’autorail Picasso y fut ajoutée par moi, à la dernière minute pour équilibrer la composition.Gare de Caux
Huile sur toile 81 x 100 cm
Ceci est un grand tableau, commandé par le Baron de Caux, pour rapeler les jours glorieux de “sa” gare dans l’Hérault. Les trains n’y roulent plus, mais les bâtiments ferroviaires existent toujours. Le train sur cette toile est une 230 de la compagnie du Midi, et on peut voir aussi (parmi d’autres) le Baron, son épouse, leurs deux chiens et deux Percherons.Suprême!
Huile sur toile 81 x 100 cm
La honteuse 241 État, transformée par André Chapelon pour devenir la locomotive la plus puissante en Europe, la 242A1, est restée la seule 242 en France. Une compound à trois cylindres, incorporant nombre de details américains, elle prouva ses qualités lors des essais, et donc elle fut mise au rebut! La SNCF ne voulant pas que la vapeur démontre des performances supérieures aux tractions électriques de cette époque, ainsi 242A1, un objet de patrimoine mondial, fut ferraillée. Bien triste!Ce tableau est à vendre. S’il vous plaît contactez-moi pour plus de détails.
Battre le Mistral
Huile sur toile 16 x 22 cm
Une ancienne Pacific PLM fonce dans la vallée du Rhône vers Paris, progressant rapidement contre ce fameux vent glacial qui soufflé des Alpes vers la Méditerranée.Reductio ad Absurdum
Huile sur toile 46 x 61 cm
Mon épouse trouva dans une brocante du coin un vieux train jouet JEP, dans sa boite d’origine. Moi, voyant l’inscription, “Vrais trains, en taille réduite” j’ai pensé qu’il serait intéressant de tester cette réclame en mettant un modèle agrandi dans une situation réelle. Vous pouvez en tirer vos propres conclusions, mais je pense que ces modèles réduits étaient remarquables pour leur époque.Ce tableau est à vendre. S’il vous plaît contactez-moi pour plus de détails.
Galeries Lafayette
Huile sur toile 22 x 16 cm
Avant la guerre, un grand panneau de publicité surmontait les verrières de la Gare St Lazare. Il n’était pas là, bien sur, du temps de Monet mais j’ai trouvé une ancienne photo un peu floue, et avec une Pacific et sa rame partant pour l’Ouest. J’ai du deviner les couleurs et ai choisi l’option patriotique.Ce tableau est à vendre. S’il vous plaît contactez-moi pour plus de détails.
Arrive à La Croix
Huile sur toile 33 x 46 cm
Je continue d’être fasciné par la ligne métrique maintenant fermée (1951)le long de la côte de Toulon à Fréjus. Il est vraiment très dommage que l’on ne puisse qu’imaginer l’ambiance et les superbes vues sur la mer depuis ces trains. Après un arrêt à La Croix (la petite ville s’appelle de nos jours La Croix Valmer) le train plongeait dans un tunnel, un parmi de nombreux autres le long de cette ligne en direction de Fréjus.Le grand diesel
Huile sur toile 16 x 22 cm
Simple mais robuste
Huile sur toile 16 x 22 cm
Mouvements complexes
Huile sur toile 22 x 16 cm
Au bord d'un canal paisible
Huile sur toile 46 x 33 cm
Départ de Manchester
Huile sur toile 81 x 60 cm
Evening Star
Huile sur toile 92 x 65 cm
Train des neiges
Huile sur toile 22 x 16 cm
Cavalcades à Cavalaire
Huile sur toile 46 x 33 cm
Excentrique
Huile sur toile 22 x 16 cm
Style Nord
Huile sur toile 46 x 33 cm
Le Mans
Une scène quotidienne à la gare du Mans, "le grand relais de l'Ouest", avec une belle locomotive électrique 2D2 à la tête d'un train pour Paris St Lazare. A l'arrière plan, un autorail rouge. Ces derniers étaient surnommés "Formule 1" pour leur capacité d'accélération. En fait, ils servaient de services d'alimentation à partir de lignes secondaires vers des gares principales comme Le Mans.La puissance du Pennsy
Quelle locomotive était la T1 ! Une vitesse de croisière de 160 km/h avec 1 000 tonnes au crochet ! Elles étaient loin d'être parfaites, elles patinaient à grande vitesse, elles cassaient leurs soupapes, mais quelle allure spectaculaire et quelle énorme impression de puissance. La vapeur était sur le déclin lorsqu'ils ont été construits, mais quelle façon de s'éteindre ! Ils étaient magnifiques, mais les diesels étaient tout à fait conquérants et le T1 n'avait nulle part où aller à partir de là.Le Rayol - Canadel
Je dois avouer que je suis un peu obsédé par l'idée de la ligne à voie étroite qui reliait Toulon à Fréjus, jusqu'à sa fermeture en 1951. Chaque fois que nous roulons le long de la côte à l’est de Toulon, nous voyons des vestiges de cette ligne, le principal étant la piste cyclable qui accompagne la route. Quel avantage cette ligne aurait-elle aujourd'hui, avec un trafic routier qui atteint des niveaux inouïs, et des retards importants pendant les mois d'été. Trop tard maintenant.Pittsburgh paysage
Il s'agit d'une très grande peinture d'une scène industrielle en Pennsylvanie, comprenant la rivière Monongahela, l'aciérie Edgar Thomson, la ligne principale de la Pennsylvania Railroad et un magnifique pont à poutres d'acier. Telle était la puissance des États-Unis en ces temps lointains, avant que les avions et l'électronique grand public ne conquièrent tout. Polluée, certes, mais d'une manière évidente plutôt que la pollution insidieuse du XXIe siècle.Ambiance Gothard
Au tournant des 19e/20e siècles, deux locomotives de la Gotthardbahn suisse se débattent sur le pont du Rohrbach, l'un d'un total incroyable de plus de 1 000 ponts sur la voie ferrée. Ce pont en arc, l'un des rares de ce type sur le total, a été remplacé par une structure fermée en béton en 1985.Paris-Orléans triomphe !
Deux classes de locomotives reconstruites par André Chapelon à partir des Pacific du Paris-Orléans des premières années du 20ème siècle. A gauche, toujours en Pacific (231) une 231H, qui fut la plus puissante Pacific française et, à droite, une 241A, une Pacific reconstruite en 4-8-0. Cette dernière est considérée comme le chef-d'œuvre de Chapelon. Par rapport à sa taille, c'était la locomotive la plus puissante du monde, avec un rendement qu'aucune autre ne pouvait égaler.Une "R" dans le sud
La classe 141R, de construction américaine, a été importée en France après la seconde guerre mondiale pour aider au redressement du pays. De construction simple et robuste, elle a survécu à la plupart des classes autochtones. Sur certaines lignes, notamment le long de la Côte d'Azur entre Marseille et Nice, ces locomotives jouissaient d'un quasi-monopole, la plupart étant alimentées au fioul, ce qui réduisait les risques d'incendies de forêt.La beauté belge
La locomotive à vapeur carénée belge de classe 12 est devenue une image culte, en partie grâce aux bandes dessinées de François Schuiten. Une conception mécanique des plus inhabituelles, avec deux cylindres intérieurs et des soupapes extérieures, complétée par un extérieur tout aussi inhabituel et frappant. Pendant un certain temps, dans les années 1930, la classe a transporté le train le plus rapide du monde, entre Bruxelles et Ostende.Dieppe : un monde perdu
Le port de Dieppe était le point d'arrivée et de départ de toute une génération de voyageurs qui traversaient la Manche. Il existe toujours des ferries transmanche, bien sûr, mais la gare maritime a fait son temps et a été démolie en 1995, un an après l'arrêt des services ferroviaires et maritimes. Des scènes comme celle-ci font désormais partie de l'histoire.Lumières à La Ciotat
Les frères Lumières ont été les pionniers mondiaux du cinéma, projetant leur célèbre film de l'arrivée d'un train à La Ciotat, en 1895. Les réactions du public variaient de la fascination à la peur. Mais nous ne voyons pas les frères dans le film, car ils étaient, naturellement, derrière la caméra. Pour la première fois, nous les voyons à l'œuvre, écrivant l'histoire sous le soleil de la Méditerranée.Liens
Ce grand tableau ne représente qu'une petite partie du mouvement d'un 2-6-4 compound à 4 cylindres de Golsdorf des chemins de fer autrichiens. Le caractère direct, à la fois compliqué et simple, des nombreux maillons - leviers, manivelles, roulements, etc. - exprime leurs fonctions à travers leurs formes, leurs matériaux et leurs relations. La beauté d'une locomotive à vapeur est en grande partie fonction de cette puissante transparence.Un monstre majestueux
Les "Alleghenies" de la Chesapeake and Ohio Railroad étaient probablement les plus grandes locomotives à vapeur jamais construites - ou l'étaient-elles ? Elles étaient certainement les plus lourdes, mais le "Big Boy" de l'Union Pacific était de taille égale. La disposition des roues des Alleghenies était de 1333, ce qui incluait un bissel arrière à 6 roues, très inhabituel, pour supporter l'énorme boîte à feu. La taille de la chaudière rendait impossible le positionnement des pompes sur le côté de la locomotive, d'où leur présence à l'avant de la boîte à fumée. Quel monstre !Trains and Me
Steam locomotives are my passion. To me, no other machine expresses elemental power in such an emotive, impressive fashion. And with what style and variety. British, French, American or German locomotives – and others – all had individual aesthetic appeal, born of their different national cultures and technical developments.
I was born in 1946, and was 22 when the last steam locomotives ran in regular service in Britain. So I remember the glorious phenomenon that was the steam railway. And at the centre of it all were the engines, by then not always so clean any more, but still giving voice to their working, and fascinating all who fell under their spell.
From an early age, I felt the need to express my affection for steam engines, and consequently drew and painted them ceaselessly. At 16, a couple of my paintings were published in the ‘Model Railway News’ and I received a small number of commissions. One of my pictures from that time – an LNER A1 Pacific – is shown above. But then cars and girls took over, along with a career as a graphic designer and image consultant. I was a partner in a practice that worked for the London Underground, British Rail and Eurostar (among others), but I kept my secret passion just that – secret.
Early retirement and a move to France gave me the opportunity to pick up where I left off. Soon after arriving here, I won the prestigious Prix Schefer and, along with it, an appreciative audience. I have been featured in the magazines ‘Correspondances Ferroviaires’, ‘La Vie du Rail’ and ‘Objectif Rail’. A section was devoted to my work in Clive Lamming’s ‘Trains de Légende’ encyclopaedia published by Atlas in 2008. I was awarded the ‘Prix du Salon’ in 2007 at the ‘Salon du Printemps’, Dourdan and have exhibited at the Salon de Chartres, Rosny Rail (Paris), Noyelles-sur-Mer and at Cogolin, near St Tropez. Two of my paintings formed part of the exhibition ‘Un siècle Pacific’ at the Cité du Train (French National Railway Museum) in Mulhouse during 2008. In the same year, I was invited to exhibit at the annual autumn ‘salon’ in the Grand Palais, Paris, as part of the Group ‘Maxiréalisme’, led by Dan Jacobson. I have exhibited there every year since then. In 2011, the ‘Cité du Train’ mounted an exhibition of my work, which included around 30 paintings. This coincided with the publication of my book (see above) by LR Presse.
I now produce 85% of my work to order, so in a sense the choice of subject is no longer my own. However, I do get chance to persuade clients to accept some of my preferences!
In my pictures, I try to express action and moods, with the engines generally the most prominent elements. Proportions and details I make fairly accurate, but paintings are not photographs and I aim to preserve that magical quality whereby a lively brush-stroke can be seen as something real. In other words, the imagination of the viewer does some of the work and, thereby, becomes involved in the picture.
Most of the pictures are of French scenes, some British and I would love to paint trains of other countries as well. I have also painted electric locomotives (which are not locomotives in a literal sense, of course), and cars.
But my first love is steam, and I hope you find this emotion expressed through some of the images on this website.